Copyright © Chocolaterie de Monaco 1920 (2024)
Là où la main de l’artisan rejoint la mémoire de la terre
Un tournant : revenir à l’essentiel
Il y a une vingtaine d’années, alors que l’industrie agroalimentaire avançait à grands pas vers l’artificiel et l’uniformisation — souvent au détriment du goût, du naturel et même de la santé — la Chocolaterie de Monaco a choisi une autre voie. Nous avons voulu revenir à l’essentiel.
Pas simplement à la saveur, mais au sens.
Pas seulement à la fabrication du chocolat, mais à l’art de l’honorer.
La main de l’artisan, l’œil de l’ingénieur
Pour guider cette transformation, la famille propriétaire de la Chocolaterie a fait appel à un talent rare : Marc de Bailleul, qui venait d’être sacré **Champion du Monde de la chocolaterie et de la pâtisserie**, et titré **Meilleur Ouvrier de France**.
Un artisan de l’instinct et de la précision, avec une main de créateur et un esprit d’ingénieur.
Marc a reçu carte blanche — non pour inventer un nouveau produit, mais pour concevoir une véritable philosophie.
Une vision fondée sur le **respect de la nature, la traçabilité, la pureté des ingrédients** et une attention portée aux enjeux de **santé publique**.
Sans jamais oublier l’essentiel : **le plaisir, le raffinement, l’émotion du goût** — qu’elle touche l’enfant ou l’adulte.
Ce qui semblait visionnaire à l’époque est aujourd’hui devenu notre standard
Revenir à la source. Mais le voyage du chocolat ne commence pas dans nos ateliers.
Ni au port du Havre ou d’Anvers.
Il commence **bien plus tôt**, sous le ciel équatorial, à l’ombre d’un **cacaoyer enraciné dans une terre rouge**.
Là où mûrit lentement la fève du goût, nourrie par la patience du **planteur**, dont le travail donne naissance à cette matière que nous respectons tant.
Deux mains, un même métier
Le geste du chocolatier ne vaut rien sans celui de l’agriculteur.
L’un cueille, sèche, surveille.
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